Bien plus que vos données personnelles statiques (nom, âge, profession, carte bancaire, etc), ce sont vos données dynamiques qui intéressent les entreprises.
Ces données dynamiques sont alimentées en permanence par vos actions au sein d’un ou plusieurs services : recherches, géolocalisation, accès à un contenu, entre autres, mais surtout interactions avec les autres.
Si vos données valent de l’or, imaginez la valeur de votre carnet d’adresses, porte ouverte vers tous vos contacts. Imaginez la structuration des données croisées sur telle ou telle interaction.
Imaginez le « mapping » insensé que tel ou tel service est capable de faire en croisant l’ensemble des carnets d’adresses de ses utilisateurs.
Votre carnet d’adresses devient donc la chose la plus précieuse et finalement la moins identifiée comme telle. Qui plus est, les données contenues dans votre carnet d’adresses sont les informations personnelles de vos amis, famille, collègues, etc., qui vous les ont communiquées en toute confiance. Ils ne vous ont très certainement pas autorisé à les communiquer à des tiers, et encore moins à des entreprises dont le but est de les exploiter à des fins commerciales.
Sous cet éclairage, la privacy, de choix personnel devrait s’envisager désormais comme « d’utilité publique » à la manière des gestes d’hygiène que l’on ferait pour stopper une épidémie.
Eviter la contagion
C’est la raison pour laquelle protéger sa vie privée passe aussi par la protection de celle des autres.
Il faut donc endiguer les données que l’on possède d’autrui et en particulier, photos, comptes et profils de réseaux sociaux et carnet d’adresses.
Avez-vous vraiment lu les « privacy policies » des services que vous utilisez ?
Leur faites-vous confiance ?
Si la réponse n’est pas un « oui » franc et massif, le principe de précaution doit prévaloir.
Comment ?
Tout simplement en refusant l’accès à ces informations aux services qui les demandent, et en demandant à vos amis de faire de même.
twinme : une des applications de messageries privées les plus sûres
L’absence de données collectées est le meilleur moyen d’éviter leur diffusion volontaire (commerciale par exemple) ou non (le piratage, notamment).
twinme ne nécessite aucune inscription (ni numéro de téléphone, ni email, ni identifiant de réseaux sociaux).
Puisque vous n’êtes pas identifié par l’application, elle ne vous « connaît » techniquement pas.
Et comme l’application ne demande pas non plus l’accès à votre carnet d’adresses, elle n’accède pas à vos contacts et par conséquent elle ne les stocke pas et ne peut donc pas les communiquer à des tiers.
De plus, tous les échanges (messages, voix, vidéo, et bientôt fichiers) se font en peer-to-peer, c’est-à-dire de votre terminal mobile vers celui de votre correspondant sans passer par un serveur de stockage intermédiaire ; ils sont cryptés de bout-en-bout, en utilisant le protocole de chiffrement « TLS », le standard du web pour accéder aux sites sécurisés (https) et disponible en open source.
Reprenez le pouvoir sur vos données est l’objectif de twinme : en ne vous demandant rien, l’application est de fait un des services de messagerie les plus respectueux de votre vie privée et de celle de vos contacts.
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